lenouveaumanagerhebdo@gmail.com
vendredi, novembre 22, 2024
ECONOMIEINTERNATIONAL

Ouganda : Le pays a enregistré une croissance économique de 6,8% au 1er semestre de l’exercice 2022/2023

676vues

Ouganda : Le pays a enregistré une croissance économique de 6,8% au 1er semestre de l’exercice 2022/2023

L’économie ougandaise a enregistré une croissance de 6,8% au premier semestre de l’exercice fiscal 2022/23 (1er juillet/30 juin) contre 3,7% au cours de la même période de l’exercice précédent, selon un communiqué publié lundi 17 avril par le ministère des Finances.

La croissance enregistrée entre le 1er juillet et le 31 décembre 2022 a été principalement tirée par les secteurs des services, de l’agriculture, de la sylviculture et de la pêche, a-t-on précisé de même source.

Cliquez sur ce lien pour télécharger notre application pour Android

https://play.google.com/store/apps/details?id=info.modele.lenouveaumanager

Cliquez sur ce lien et intégrez notre groupe Télégram pour suivre l’actualité économique

https://t.me/+pPFV2ez3NyNhYjg8

Le ministère des Finances a également indiqué que l’atténuation des pressions inflationnistes place l’Ouganda en bonne voie pour atteindre l’objectif de croissance de 5,3 %, qui a été fixé par le gouvernement pour l’ensemble de l’exercice 2022/2023.
Le gouvernement ougandais, qui table sur une progression de 6% du PIB du pays en 2024, prévoit une croissance économique supérieure à 7% par an à partir de 2025, grâce à l’entrée en production des gisements pétroliers situés dans l’ouest du pays.

L’Ouganda avait lancé, en janvier dernier, un programme de forage de puits de production dans le champ pétrolier de Kingfisher, situé dans la région du lac Albert (Ouest).
Ce gisement opéré par la compagnie chinoise CNOOC devrait entrer en production en 2025.
Frontière naturelle entre l’Ouganda et la République démocratique du Congo, le lac Albert recèle une quantité de pétrole brut estimée à 6,5 milliards de barils, dont environ 1,4 milliard de barils sont actuellement considérés comme récupérables.

Laisser une reponse